Retrouvez nos intervenants autour d’une table ronde digitale sur la nécessité de divulguer les risques et dépendances et de veiller à réduire au maximum les pressions existantes sur la nature tout en finançant des projets permettant de regénérer le vivant. Ils partageront leurs bonnes pratiques et présenteront notamment les produits qu’ils ont mis en place afin de participer au défi biodiversité. Ils évoqueront ensemble enfin le sujet encore prospectif de marché de certificats « nature positive ».
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Description et contexte
La biodiversité s’érode depuis des décennies. Nul besoin de reprendre les chiffres de l’UICN, du WWF ou de l’UNEP pour s’en convaincre. Il suffit de constater le déclin des poissons dans l’océan, des oiseaux des champs ou plus globalement, des insectes. L’économie, en grande majorité dépendante directement ou indirectement du tissu vivant de notre planète, doit impérativement et structurellement se transformer afin de réduire les pressions qu’elle exerce sur la nature au risque de s’effondrer. Le secteur financier doit dès lors s’assurer de participer au changement transformatif d’une économie pouvant être considérée aujourd’hui comme prédatrice, et réduire les risques pesant sur la production de biens publics mondiaux et sur la stabilité financière.
L’Accord Montréal-Kunming pour la biodiversité appelé également « Pacte de paix pour la nature » adopté mi-décembre 2022 appelle à arrêter d’ici 2030 la perte de biodiversité et en regagner à échéance 2050. La communauté internationale s’est, dans ce cadre, mis d’accord sur la redirection des flux financiers mondiaux vers des projets « nature positive » en mobilisant un total d’au moins 200 Mds $ en faveur de la biodiversité d’ici à 2030. Fait notoire accompagnant cette décision est l’ouverture vers la création d’un fonds appelé « Fonds du cadre mondial pour la biodiversité » hébergé par le Fonds mondial pour l’environnement, et ce dès 2023, chargé de « mobiliser et débourser rapidement » des ressources nouvelles et additionnelles de financements, provenant de toutes sources possibles : publiques, privées, banques multilatérales, etc. L’Accord suggère notamment de recourir à différents mécanismes de financement privé tels que les paiements pour services écosystémiques, les « debt for nature swaps » et encore les « biocredits ».
Ce webinaire organisé conjointement par l’Institut de la Finance Durable et Finance Montréal traitera du financement du cadre mondial international pour la biodiversité et de la mise en œuvre du Global Biodiversité Framework découlant de l’Accord Montréal-Kunming. Retrouvez nos intervenants autour d’une table ronde digitale sur la nécessité de divulguer les risques et dépendances et de veiller à réduire au maximum les pressions existantes sur la nature tout en finançant des projets permettant de regénérer le vivant. Ils partageront leurs bonnes pratiques et présenteront notamment les produits qu’ils ont mis en place afin de participer au défi biodiversité. Ils évoqueront ensemble enfin le sujet encore prospectif de marché de certificats « nature positive ».
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